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Ty Poul de Novembre

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Novembre…. Enfin encore un peu !
et décembre bientôt…

J’ai pris un fichu retard là.
Sonnée que j’étais. 

Et c’était juste le 29 d’octobre, tout était prêt pour novembre…News Letter, Programme. Et vlan. Mais qu’est-ce qu’on avait fait ou pas fait. Par où passait ce volatile virus. On se touchait plus, on se souriait plus, on s’était à peine revu. Vlan quand même.

Et nous voici à re-piétiner les mêmes sentiers cent fois battus, à re-bidouiller les mêmes attestations chiffonnées, à re-supporter les mauvaises blagues sur nos phones surchargés.

L’espace, le temps, le muscle et le neurone sont à nouveau réduits, empêchés, mélancoliques… 

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Donc, ou on se couche en attendant que les jours rallongent et que le Virulent se calme ou on cherche et on trouve ensemble, de loin en loin des petits cailloux de Poucet pour ne pas perdre le chemin ? 

Ty Poul même fermé palpite. Compost à idées, ça se croise et se tilte , ça clique et ça fermente.
On voulait le « drive soupes »  (« Soup’pàpotes ») sur le pas de la porte. Histoire de servir à quelque chose  et de se papoter. C’était bon pour la tête et le ventre. Notre Maire trouvait ça chouette mais a dit niet. Le Ty Poul est un drôle d’oiseau mi asso-mi café…un petit bâtard inclassable. Force et faiblesse ! On met le couvercle, on garde au chaud…à revoir, pas perdu !

Alors quoi ? En tous cas…pas rester comme ça avec les jours qui baissent et le crachin qui mouille. Avec les fous dingues, d’ici et de là-bas. Avec nos testés et nos réanimés…Pas plonger, pas se résigner, pas céder. Résister comme déjà avant et encore maintenant. Se sauve garder . 

Programme de sauve garde en télétypoul !
à cliquer ici .

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Merci vous, celles-ceux qui ont répondu à l’appel ! Chant, couture, aquarelle, anglais, sophro, écriture, philo. Merci à ceux qui lanceront  leurs idées…En vrac. On fera le tri. 

C’est un peu compliqué et spécial à imaginer…Le programme donne les thèmes et premiers gestes, les bulles les développent. C’est pour tout le monde, pas que les « groupies » !

On reprendra ça en vrai en chair, os, yeux et sourires quand on aura enfin vu les talons de l’infiltrante bête à poil
Reprenons sans pitié, amigos (et –gas), du poil de la bête ! 

A la revoyure! 

Christine

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